HOMMAGE À CHAVIGNIER, 1972

Ici le spectateur devient participant à une action dirigée par un maître de cérémonie -­‐ Anne Denieul -­‐ dans un parcours spiraliforme, qui disait mon regard et celui d’Anne sur l’homme et son œuvre. Cet espace précède un espace  plastique qui est modifié par ceux qui sont devenus acteurs de la cérémonie .

Voici la perception qu’en a eue le

critique Denys Chevallier : «Il s’agissait de quelque chose d’intimement éprouvé, incantatoire presque …/… jusqu'à la nature éphémère de l’hommage au travers de sa fragilité temporelle, …/…cet hommage cherchait moins à élever un monument perdurable qu’à provoquer un événement.